Des élections municipales partielles auront lieu dans les prochaines semaines pour élire une nouvelle équipe municipale.
Comme annoncé dans deux courriers aux habitants de la commune de La Chapelle-sur-Oreuse*, distribués dans toutes les boites aux lettres, des élections municipales partielles auront lieu dans les prochaines semaines.
Cette décision a été prise à l’unanimité du Conseil municipal sortant qui a toujours été solidaire tout au long de son mandat de près de quatre ans.
Comme le dit la lettre : « Etre Maire, être Adjoint au Maire ou conseiller municipal n’est pas une mission anodine. Cela représente un réel engagement au service du public et nécessite de l’implication et de la disponibilité. »
La plupart des élus sortant sont des actifs, très engagés dans leur métier ou dans la vie associative du village. Certains connaissent des évolutions professionnelles ou personnelles, des difficultés de santé, qui ne leur permettent plus de remplir leur rôle d’élu. Voici les raisons qui ont conduit à cette décision difficile.
Notre commune dispose de talents variés, de tout âge, et d’un tissu associatif très dynamique. L’équipe sortante a su lancer, financer et faire vivre de beaux projets. Tout cela est encourageant pour l’avenir.
La date et les modalités pratiques des élections seront prochainement fixées par un arrêté préfectoral.
Dans l’intervalle, David Pinto et Laurent Marty, respectivement deuxième et troisième Adjoints ont été désignés par l’équipe sortante pour assumer la transition jusqu’aux élections. Ils sont à votre disposition pour toute information complémentaire et assureront les permanences du samedi matin.
Tous les services municipaux continuent d’assurer leur mission normalement. Le secrétariat de Mairie, l’équipe périscolaire et les agents techniques restent au service de tous les Chapelins.
Le Conseil municipal sortant remercie tous les Chapelins pour leur soutien durant ces quatre années et pour les messages de sympathie transmis depuis cette annonce.
* il s’agit d’une Lettre du Maire, Gilles Bonneau et d’une Lettre du Conseil Municipal.